Ce lundi 8 juin nous avons emmené notre joyeuse troup a Château Thierry pays de Jean De la Fontaine. Nous étions attendu pour une visite de l'hôtel Dieu un batiment superbe.(extrait du site wikipédia)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Château-Thierry#H.C3.B4tel-Dieu
Facade et ancienne entrée principale de l'Hôtel-Dieu.
L’hôpital de Château-Thierry a été fondé en 1304 par Jeanne de Navarre, épouse du roi Philippe IV le Bel.
L'établissement fut très modeste jusqu'en 1698, date à laquelle le roiLouis XIV lui rattacha vingt huit maladreries (petits hôpitaux soignant les lépreux) de la région environnante.
- « Les localités intéressées par ce rattachement durent faire à l'hôpital l'abandon de leurs biens fonds, en compensation elles eurent le droit à un certain nombre de journées de maladie proportionnées à l'importance des biens abandonnés. »
- (H. Chaloin - Informateur XI.59).
Au cours des siècles, les bâtiments furent agrandis jusqu'à leur démolition (après 1870). Un nouvel hôpital fut construit dès
1876 et inauguré en
1879. Durant les travaux, les malades étaient soignés à La Charité (aujourd'hui Bellevue). n 1890, les vieilles murailles de la ville qui clôturaient l'hôpital au midi, furent démolies à l'exception de la tour d'angle qui sert de tombeau aux religieuses de l'établissement (la tour des Augustines).
Il n'est guère possible de parler de l'Hôtel-Dieu sans évoquer la mémoire de Madame de la Bretonière qui à la fin du xviie sièclefit adopter l'ordre de Saint Augustin, et dont les oncle et tante, Monsieur et Madame de Stoppa, furent les bienfaiteurs et restaurateurs de l'hôpital. On voit leur mausolée dans la chapelle de l'Hôtel-Dieu.
L'institution de Jeanne de Navarre, reine de France, semble avoir fait son temps. Elle ne répond plus aux exigences de la vie moderne. Un autre établissement hospitalier a vu le jour sur les hauteurs. Seul subsiste le souvenir d'un dévouement huit fois séculaire, aujourd'hui préservé par une association locale, qui organise des visites du musée de l'Hôtel-Dieu sur réservation.
Aile nord et vue sur la chapelle. En 1890, les vieilles murailles de la ville qui clôturaient l'hôpital au midi, furent démolies à l'exception de la tour d'angle qui sert de tombeau aux religieuses de l'établissement (la tour des Augustines).
Il n'est guère possible de parler de l'Hôtel-Dieu sans évoquer la mémoire de Madame de la Bretonière qui à la fin du xviie sièclefit adopter l'ordre de Saint Augustin, et dont les oncle et tante, Monsieur et Madame de Stoppa, furent les bienfaiteurs et restaurateurs de l'hôpital. On voit leur mausolée dans la chapelle de l'Hôtel-Dieu.
L'institution de Jeanne de Navarre, reine de France, semble avoir fait son temps. Elle ne répond plus aux exigences de la vie moderne. Un autre établissement hospitalier a vu le jour sur les hauteurs. Seul subsiste le souvenir d'un dévouement huit fois séculaire, aujourd'hui préservé par une association locale, qui organise des visites du musée de l'Hôtel-Dieu sur réservation