Le blog de marilo

Aujourd'hui on entend souvent les gens nommer leur  ami(e) mais c'est quoi l'amitié ?

Avoir un ou une amie pour moi est vitale. Mon ou même mes amis, pas si nombreux que ça , jalonnent ma vie depuis plus de 30 ans. Ils font partis de ma famille au sens large. Etre l'ami de quelqu'un c'est lui être fidèle longtemps pas seulement le temps d'un passage dans une région ou une ville. Les kilomètres n'ont jamais été une barrière. De nos jours les moyens de communications sont nombreux et vous permettent de vous voir même a des milliers de Kilomètres , pas vrais Annick toi en guyane et moi a Soissons. Les réseaux sociaux aussi permettent de garder contact. 

Mes amis je ne les voit pas tous ls jours mais les occasions sont nombreuses pour leur témoigner mon amitié. La vie est courte et au moment de se séparer il est trop tard pour se dire combien ils comptaient pour nous. 

Alors , je vous le dis et le redit vous êtes mon oxygène et ma joie. Je vous aime et ous êtes essentiels pour moi 

En février nous avions l'occasion de fêter le jubilé de diamant du père josy et nous nous sommes retrouvés tous autour de lui ce 2juin 2010 pour lui dire un dernier au revoir. Je ne dirais pas que ce fut chose aisée car quitter des gens que l'on aime n'est jamais facile. Il a eu la vie qu'il a choisie et nous disait encore en février combien elle l'avait comblée c'est donc avec cette pensée que nous l'avons accompagnée. A Dieu Josy nous aurons toujours une place dans notre coeur pour toi .

Ce samedi 12 septembre c'était la fête a Terny sorny car alex et anaïs se mariaient.Depuis le temps qu'ils se connaissent on ne parlaient même pas mariage. Les préparatifs sont allés bon train les parents d'Anaïs et Tonio le papa d'Alexandre n'ont pas chomé. Les faits parts et les décorations ont été l'oeuvre d'Anaïs et de Cathy c'était très réussi.les mariés étaient très beaux aussi

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Rome et le Vatican ont été la première halte du pèlerinage de Marc, René et André.

Trois pèlerins viennent de relier Chauny à Jérusalem en vélo. Deux Chaunois et un Laonnois ont pris la route ensemble.

CHAUNY-JÉRUSALEM en pédalant. C'est le défi que se sont lancés les Chaunois Marc Michel et René Deboffles et le « Laonnois » (originaire de Saint-Erme-Outre-et Ramecourt) André Baudoux, il y a deux ans. Depuis, ils préparent ce pèlerinage catholique de 50 jours.
Après une organisation minutieuse, c'est le jour de Pâques, le 12 avril qu'ils sont partis vers la Terre Sainte avec un départ « officiel » de Liesse. Seul René, n'a fait qu'une partie du voyage jusqu'à Athènes. Ils ont ainsi traversé la France, puis l'Italie, la Grèce avant de s'envoler pour Tel-Aviv en Israël et de terminer par une boucle de 500 km en roulant en Israël, Cisjordanie et Palestine. Soit 3 500 km au total.
« C'est un défi sportif mais nous étions d'abord des pèlerins. Avant de partir sur la route nous avons récolté des intentions de prières pour les placer dans le Mur des lamentations », précise René. La route n'a pas toujours été de tout repos, notamment en Italie. « Nous nous arrêtions dans les monastères ou les campings et parfois dans les hôtels. Un jour en Italie alors que nous terminions une journée de galères avec un circuit difficile et l'obligation de reculer de 25 km faute de pouvoir prendre l'autoroute, nous ne trouvions pas de logement. C'est alors que nous sommes tombés sur un hôtel somptueux où nous avons été accueillis à bras ouverts par la patronne qui nous a invités à participer à une fête qui était donnée dans le parc. C'était un peu un don du ciel ».
Après une halte à Rome, les Axonais ont repris la route pour découvrir les tas d'immondices de Naples avant d'arriver en Grèce par bateau.
La une en Palestine
Après le départ de René, Marc et André ont poursuivi leur périple non sans mal, tant les liens sont forts en pareils moments.
Ils sont arrivés en Israël et découvert le mur de séparation, les check-points y compris pour faire 500 mètres et participer à une messe. « Deux cyclistes français en Terre Sainte, ça passe aux différents contrôles. La région était calme mais nous sentions tout de même des tensions », ajoute Marc.
À Jéricho, ils ont été reçus par le maire et ont fait la une du premier journal de Palestine. Bethléem, Nazareth, le Mont des Béatitudes, le lac de Tibériade et le Mur des lamentations ont été autant de points de passage avec à chaque fois son lot d'émotions. « Le plus émouvant a été une messe en arabe où sans comprendre ce qui se disait nous pouvions communier avec ces hommes et ces femmes, c'était très fort », raconte Marc les larmes aux yeux.
On dit souvent que la foi peut soulever des montagnes, pour nos trois amis ce sont les kilomètres qu'elle a permis de parcourir.
Samuel PARGNEAUX 
article paru dans le journal L'UNION de REIMS